Résumé :

A priori, tous les dessins de Michel-Ange ont été répertoriés. Et lorsque l’un d’eux fait une apparition discrète sur le marché, il y a tout lieu de supposer qu’il a été volé. Le plus incroyable, c’est que celui qui est proposé à Henri Valhubert, célèbre expert parisien, provient probablement de la bibliothèque vaticane!
Qui se risquerait à subtiliser les trésors des, archives papales ? L’affaire se complique lorsque Valhubert est assassiné, un soir de fête, devant le palais Farnèse.
Instantanément, les soupçons se portent sur le fils de la victime. Ce dernier fait partie d’un curieux triumvirat d’étudiants, aux surnoms d’empereurs : Claude, Néron et Tibère. En résidence à Rome depuis plusieurs années, tous trois entretiennent des liens singuliers avec la veuve de Valhubert. Une femme au charme envoûtant et dont le passé comporte quelques zones d’obscurité…

Mon Avis :

On m’a proposé ce polar à cause du titre (ceux qui vont mourir te saluent), du nom des personnages (Claude, Néron, Tibère) et de la ville (Rome) dans laquelle se déroule l’intrigue. Passionnée d’histoire romaine, quoi de mieux pour m’appâter? Mais, à la lecture des trente premières pages, je dois dire que cela a été plutôt la douche froide… Néanmoins, j’ai réussi péniblement à finir le roman. Je n’ai absolument pas réussi à rentrer dans l’histoire, et je n’ai pas réussi non plus à m’attacher ou à cerner les personnages. Quant à l’intrigue, je l’ai trouvé trop haché, rapide et les effets pour moi sont plutôt retombés à plat (pour exemple, la mort d’Henri). Malheureusement, le nombre de pages limité (à peine 200 pages) y est peut-être pour quelque chose. du coup, je ne risque pas de m’aventurer de sitôt du côté de Fred Vargas que l’on m’avait présentée comme une des grandes auteures de polars.

Note 2/5