Quatrième de couverture :
Alisik se réveille une nuit dans un cimetière. Un peu effrayée, elle décide de s’enfuir au plus vite. Mais, rapidement, elle se rend compte qu’aucun vivant ne la voit. Et pour cause, Alisik est morte. Pire, elle est coincée entre enfer et paradis, en attente du jugement de Mr. Mortis, lequel tarde à venir. En attendant, elle et ses nouveaux amis, tous dans le même cas, vont devoir sauver le cimetière de la destruction. Pour cela, elle peut compter sur l’aide de Ruben, un jeune aveugle, seul vivant capable de l’entendre, et qui ne la laisse pas indifférente…
Editeur : Le Lombard
Nombre de pages : 112
Prix : 14.99€
Mon Avis :
Alisik est une bande dessinée qui raconte l’histoire d’une jeune fille de quinze ans, qui se réveille une nuit dans un vieux cimetière. Elle est aussitôt accueillie par cinq vieux fantômes. Ces derniers errent encore en attendant de savoir s’ils seront accueillis dans la lumière ou dans l’obscurité pour l’éternité. Lors de ses réveils nocturnes, Alisik tombe amoureuse d’un jeune garçon de son âge : le seul problème, c’est qu’il est vivant alors qu’elle est morte…
Ce qui m’a tout de suite attirée dans la brocante où j’ai acheté le premier tome de cette tétralogie, c’est la jolie couverture très burtonienne. Alisik porte une paire d’aile à la façon d’un ange et elle est assise sur une pierre tombale entourée de chats Sphinx. La bande dessinée en elle-même est un magnifique livre objet, très agréable à regarder et à feuilleter avec ses pages en papier glacé. Les dessins relativement sombres, sont très jolis et raviront les lecteurs adolescents auxquels cette bande dessinée est clairement destinée.
Quant à l’histoire, au début, j’avais un peu peur que ce ne soit un peu trop glauque. Mais, au final, il y a suffisamment d’humour, de burlesque et de romance, d’intrigue pour que je suive avec plaisir les aventures des Post Mortem. Dans tous les cas, cette première lecture m’a mis l’eau à la bouche et j’ai très envie de poursuivre avec les trois autres tomes.
Note 5/5
Une réflexion sur “Alisik de Hubertus Rufledt”