Le Roi des Fauves d’Aurélie Wellenstein

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Quatrième de couverture :

Accusés de meurtre, Ivar, Kaya et Oswald sont injustement condamnés à un sort pire que la mort. Enfermés dans un royaume en ruines, coupés du monde, il leur reste sept jours d’humanité. Sept jours pendant lesquels le parasite qu’on leur a inoculé va grandir en eux, déformant leur corps et leur esprit pour les changer en monstres, en berserkirs, ces hommes-bêtes enragés destinés seulement à tuer ou être tués.
Commence alors une course contre le temps, effrénée, angoissante, où les amis d’hier devront rester forts et soudés, pour lutter contre les autres… et surtout contre la bête qui grandit en eux. Existe-t-il une issue ? Existe-t-il un salut quand son pire ennemi n’est autre que soi-même ?

Editeur : Scrinéo

Nombre de pages : 283

Prix : 16.90€

Mon Avis :

Les avis enthousiastes de Celindanae du Pays des Caves Troll, de La tête dans les livres et de Mllenial de la Croque Livre m’avaient convaincu de lire ce roman. J’avais donc décidé de m’y plonger également, appréciant beaucoup les parutions des éditions Scrinéo. Malheureusement, le roman n’aura pas été à la hauteur de mes attentes et j’avoue avoir été complètement déçue.

Aurélie Wellenstein a puisé dans la mythologie nordique pour écrire Le Roi des fauves. Ivar, Kaya et Oswald sont trois amis d’un même village. Un jour, mourant de faim, ils décident de braver l’interdit et d’aller braconner dans la forêt, réservée à leur Seigneur. Alors qu’ils réussissent à attraper un lièvre, un jeune Lord les surprend et agresse Kaya. Mais, les deux jeunes garçons ne l’entendent pas de cette oreille et tue par accident leur Seigneur. Quelques semaines après ce malheureux évènements, les trois amis vont être rattrapés par la justice et condamnés à devenir des Berserkirs…

Dix jours pour lire 280 pages, cela vous donne une idée de ma motivation pour terminer ce roman. Je l’ai trouvé horriblement long et je n’avais qu’une seule hâte, l’achever pour le chroniquer et ne plus en entendre parler. En réalité, j’ai trouvé l’intrigue très linéaire sans vraiment de rebondissements, les personnages m’ont laissé complètement indifférente (à un tel point que jusqu’à la moitié du roman, je ne faisais toujours pas la différence entre Ivar et Oswald) et l’écriture ne m’a pas non plus touchée. Bref, à aucun moment, je ne me suis sentie concernée par ma lecture ni je n’avais l’envie de m’investir. J’ai conscience d’être dure car je suis persuadée qu’il ne le mérite pas. Il s’agit d’un roman Young Adult : les néophytes en SFFF devraient avoir leurs attentes comblées. Quant à moi, il m’a paru insuffisant. Peut-être devrais-je tenter ma chance avec un autre opus d’Aurélie Wellenstein?

Note 1,5/5

34 commentaires

  1. Eh bien, comme quoi, les goûts et les couleurs, ça ne se discute pas 🙂 Parce que, personnellement, j’ai adoré ce livre, quoiqu’un peu trop court à mon goût. Faut dire que mon penchant pour la dark fantasy a été pas mal comblé sur ce coup-là 🙂

    Après, si d’emblée, tu ne t’attaches pas aux personnages, aïe ^^ Pour moi, c’est un point essentiel pour apprécier un roman, donc je te comprends quand même un peu 🙂

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  2. Effectivement ça n’est pas passé pour toi !… N’étant pas néophytes en SFFF, du coup j’ai un peu peur, je ne pense pas me forcer si jamais je vois que ça ne colle pas…bref, à voir, je n’en suis encore qu’aux premières pages…

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