Coucou tout le monde,

j’espère que vous allez bien? Une fois n’est pas coutume, je n’ai pas réussi à aller au bout de mon programme de septembre car j’ai lu seulement six livres sur les huit de prévu.

En revanche, j’ai eu un mois riche en évènements car il y a eu la fin du challenge S4F3 saison 5 (je vous ai mis les résultats dans cet article), le vote des finalistes du PLIB 2019 (j’ai d’ailleurs fait un petit résumé ici avec mon choix de vote) et ma participation à un nouveau challenge. En effet, il se trouve que je me suis cassée la rotule en trottinette il y a une dizaine de jours après avoir participé aux Journées du Patrimoine (j’en ai d’ailleurs fait un article). Les Lutins sont adorables et pour m’éviter de tomber dans la morosité, Albédo a décidé de créer un challenge « Mettre sa PAL sur les rotules » ! Un grand merci à elle!

Allez c’est parti pour le bilan mensuel!

Vous pouvez retrouver ma chronique de La fille qui tressait les nuages de Céline Chevet ici.

Il s’agissait de ma dernière lecture dans le cadre de la sélection du PLIB 2019. Je l’avais gardée pour la fin car je vous avoue que je n’étais pas très motivée pour la lire en raison de son caractère surréaliste, genre qui n’a pas vraiment mes faveurs. Et bien, finalement cette lecture a été une bonne surprise. En effet, j’ai beaucoup apprécié le fait que ce roman m’ait fait voyager au Japon. Et finalement, l’aspect surréaliste était plutôt bienvenue car par sa poésie, il permettait de contrebalancer quelques scènes un peu trop empreintes de noirceur à mon goût.

Vous pouvez retrouver ma chronique du premier tome du Serment de l’orage de Gabriel Katz ici.

Ce n’est plus un secret pour vous mais Gabriel Katz est l’un de mes écrivains français préférés en SFFF. Aussi, lorsque je me suis rendue aux Imaginales, en mai dernier, je lui ai pris son dernier roman. S’il est vrai que l’univers médiéval de ce premier tome est un peu classique et que les personnages apparaissent finalement peu nuancés, j’ai trouvé ma lecture tout à fait divertissante avec le style inimitable de l’auteur par son humour. Je dois dire qu’il m’a même plutôt surprise sur les personnages féminins à la fin. Bref, à découvrir!

Vous pouvez retrouver ma chronique de La Machine de Léandre d’Alex Evans ici. Livre reçu en Service Presse.

Cette première incursion dans l’univers de Gaslamp Fantasy d’Alex Evans s’est trouvée tout à fait divertissante! Ce roman comprend un roman, La machine de Léandre et une novella, La chasseuse de livres. Les deux textes ont beaucoup de points en commun puisqu’ils abordent tous les deux le milieu de la Recherche qui m’est familier mais il met aussi en avant deux femmes au caractère bien trempé. J’avoue avoir été plus convaincue par La machine de Léandre car je l’ai trouvée plus aboutie.

Vous pouvez retrouver ma chronique du premier tome de Dans l’ombre de Paris de Morgan of Glencoe ici. Livre reçu en Service Presse.

Là encore, il s’agit de ma première incursion dans l’univers de Morgan Of Glencoe et je dois dire qu’elle a été plutôt réussie! Cette uchronie décrit une version de notre monde dans lequel la Révolution Française de 1789 n’a pas eu lieu laissant en cette fin de XXème siècle une Monarchie gouverner notre pays. Le récit de ce premier tome oppose alors deux sociétés qui si finalement apparaissent un peu trop manichéenne, permettent aussi d’aborder des sujets de notre actualité (le féminisme, l’homosexualité, le vivre ensemble, etc…). Bref à découvrir.

Vous pouvez retrouver ma chronique du premier tome de La croisade éternelle de Victor Fleury ici.

J’ai rencontré également Victor Fleury aux Imaginales et en fait il m’a alpaguée alors que j’étais en train de déambuler entre les tables des dédicaces, le coquin! Si sa ferveur passionnée m’avait convaincue de prendre ce premier tome, ma lecture m’a complètement faite adhérer à son style. J’ai été dépaysée par le récit inspiré de la civilisation Mésopotamienne et j’ai beaucoup apprécié les personnages nuancés. Dommage toutefois que le rythme de lecture ait été un peu déséquilibré entre les deux premiers tiers et le dernier, sans cela, ce roman aurait été un coup de coeur.

Vous pouvez retrouver ma chronique de Femmes de pouvoir de l’Antiquité de Nicolas Mietton ici.

Sachez toutefois que j’ai eu une énorme déception pour cet ouvrage. L’auteur est défini comme un historien mais j’avoue avoir eu des doutes quand à la méthode utilisée (paraphrase, peu de recul vis à vis des sources antiques, peu de travail de réflexion et vision très restrictive de ces femmes réduites en grande partie en tant que épouse/mère et putain). Bref, un ouvrage que je ne recommanderai absolument pas.

Je suis actuellement en train de lire Femmes en armes de Marie-Eve Sténuit et déjà l’introduction me dit que cet ouvrage est un peu plus sérieux que le précédent. A confirmer par la suite. Quant au Marchand qui voulait gouverner Florence d’Alessandro Barbero, il suivra juste après. Bref, je vous dirai tout demain avec la présentation de ma PAL du mois d’octobre qui sera probablement plus fournie que d’habitude en raison de mon accident.

Bonne journée et à bientôt.