Coucou tout le monde,

j’espère que vous allez bien? Je l’avoue, j’ai respecté mon programme du mois de novembre seulement de moitié! Ces bouleversements ont été liés au fait que j’ai lu moins de ce que j’avais prévu de prime abord, j’ai eu également quelques petits changements au niveau des Services Presses et j’ai été prise par le PLIB 2020. En effet, j’ai eu la joie d’apprendre que La Bibliothèque d’Aelinel a été reconduite une nouvelle fois en tant que membre du Jury du PLIB 2020, j’ai donc dû passer un peu de temps pour la seconde étape, la sélection de 20 romans. Une fois n’est pas coutume, les livres non lus en novembre rejoindront celle de décembre mais, cela vous le découvrirez demain!

Allez, c’est parti!

Vous pouvez retrouver ma chronique de Station Métropolis, Direction Coruscant d’Alain Musset ici.

En voilà un drôle d’ouvrage dans lequel Alain Musset propose à son lecteur d’étudier les villes de la Science Fiction sous le prisme de la géographie urbaine! Et devinez quoi? C’est un ouvrage passionnant, érudit et bien documenté. Il montre ainsi que non seulement les villes de la Science Fiction sont le reflet de nos peurs actuelles mais il propose également des solutions afin d’éviter un futur dystopique. Bref, à mettre entre toutes les mains des amateurs de SF et pas seulement ceux des étudiants en Histoire-Géographie!

Vous pouvez retrouver ma chronique des recueils de contes Princesses d’ivoire et d’ivresse ainsi que Princesses d’ambre et d’Italie de Jahyra ici.

Ces deux lectures (ou plutôt trois car j’ai lu à cette occasion les contes originaux de Jean Lorrain!) n’étaient pas du tout prévues au programme. En fait, j’avais participé au financement de ces deux ouvrages l’année dernière sur la plateforme Ulule et il se trouve que je les ai reçus ce mois-ci. Après ma lecture, je suis plutôt mitigée car si les dessins principalement inspirés de l’Art Nouveau de Jahyra sont à couper le souffle, en revanche, je n’ai pas du tout aimé les textes de Jean Lorrain. Dommage…

Vous pouvez retrouver ma chronique des Actes du colloque Fantasy & Histoire(s) des Imaginales 2018 sous la direction d’Anne Besson ici.

J’avais eu énormément de mal à écrire ma chronique pour cet ouvrage car résumer des actes d’un colloque n’est pas chose aisée. Du coup, je n’avais retenu que quelques thématiques pour les retranscrire dans mon article. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que ma lecture a été vraiment très intéressante. Adorant la Fantasy historique, j’ai été plutôt bien servie par la thématique. Si certains articles sont un peu pointus, d’autres au contraire se lisent très bien.

Vous pouvez retrouver ma chronique sur L’enfance attribuée de David Marusek ici.

Fidèle à la réputation de la collection Heure-Lumière chez le Bélial, cet ouvrage était encore une fois un excellent choix ! J’ai été vite entraînée dans l’univers immersif de David Marusek : si au début, le lecteur peut-être émerveillé par le développement impressionnant des technologies, le revers de la médaille est quant à lui plus glaçant! Et finalement, c’est bien dans une dystopie que le lecteur est entraîné! Bref, je recommande cette novella !

Vous pouvez retrouver ma chronique des Lions d’Al-Rassan de Guy Gavriel Kay ici.

Si ma première incursion dans les romans de Guy Gavriel Kay n’avait pas été une franche réussite, il en a été tout autre avec Les Lions d’Al-Rassan! En effet, j’ai eu un véritable coup de coeur pour ce roman de Fantasy historique! Un univers extrêmement précis et inspiré de l’Espagne de la Reconquista, des personnages très travaillés, attachants et non manichéens, une intrigue à couper le souffle, bref tous les ingrédients sont réunis pour une excellente lecture. Si vous ne connaissez pas encore les ouvrages de Guy Gavriel Kay, je vous conseille la lecture de celui-ci en premier!

Vous pouvez retrouver ma chronique de Chiens de guerre d’Adrian Tchaikovsky ici.

Encore une excellente lecture le tout recommandé par le Blogopote Apophis! Dans un futur proche, Adrian Tchaikovsky imagine comment sera faite la guerre de demain. Et le moins que l’on puisse dire, c’est qu’il a été très imaginatif! En passant, il en profite aussi pour égratigner notre actualité en dénonçant par exemple l’influence grandissante des multinationales qui font fi de la démocratie au profit de leur intérêt ou la propension des humains à rejeter ceux qui ne leur ressemblent pas. A mettre d’urgence dans sa wish-list de Noël!

Je n’ai pas rédigé de chronique à propos d’Acadie de Dave Hutchinson et je ne compte pas le faire. Du coup, je vais vous donner rapidement mon ressenti.

J’avoue que je suis un peu mitigée après cette lecture : j’ai en effet trouvé le début très brouillon en raison de la présence de nombreux flashbacks et je n’ai pas vraiment adhéré à l’humour du narrateur Duke. En revanche, j’ai adoré la chute de la novella qui permet finalement de revoir l’intrigue sous une autre perspective. J’ai trouvé cela vraiment intéressant et je me demande même si je ne vais pas refaire une seconde lecture. Bref, à vous de le lire maintenant pour vous faire votre propre opinion!

Voilà, j’espère que ce bilan vous aura plu. Et l’on se retrouve demain pour la présentation de ma PAL du mois de décembre! En attendant, je vous souhaite un bon dimanche pluvieux mais idéal pour une lecture!