Coucou tout le monde,
j’espère que vous allez bien? Mon bilan du mois de février a mis un peu de temps à arriver car il se trouve que cette période correspond à une forte activité professionnelle. Du coup, le soir, je n’ai pas trop envie de me mettre à écrire un article, préférant me détendre en lisant (bien!) ou à traîner sur les RS (pas bien!).
Allez, c’est parti!
Vous pouvez retrouver ma chronique de La chanson d’Arbonne de Guy Gavriel Kay ici.
Si je n’ai pas atteint le coup de coeur cette fois comme pour Les lions d’Al-Rassan, ce n’est pas passé loin! La chanson d’Arbonne est un roman de fantasy historique qui s’inspire de la Provence du XIIIème siècle. On retrouve les mêmes ingrédients que dans les romans précédents : de nombreux personnages forts (et les femmes jouent un véritable rôle!), une intrigue haletante, un worldbuilding bien développé qui donne de l’épaisseur au récit, des dialogues qui font mouche mais quelques longueurs tout de même. Bref, lisez Guy Gavriel Kay!
Vous pouvez retrouver ma chronique de La piste des cendres d’Emmanuel Chastellière ici. Service Presse.
J’ai adoré ma lecture! J’ai beaucoup apprécié le fait que le récit se déroule vingt-cinq ans après les évènements du premier roman car la péninsule de la Lune d’Or n’est plus tout à fait la même et a évolué, les personnages sont extrêmement bien écrits et intéressants à suivre et finalement les écueils de L’empire du léopard ont été évités grâce à un récit plus condensé et un double niveau de lecture. J’aimerais bien un troisième tome sur cet univers! Après je dis ça, je dis rien !
Vous pouvez retrouver ma chronique de Je suis fille de rage de Jean-Laurent Del Socorro ici. Service Presse.
J’ai eu un petit coup de coeur pour ce roman! Bien qu’il fasse plus de cinq cent pages, je ne l’ai pas vu défilé tant il est prenant. S’il est vrai que la partie fantastique est ténue (elle ne tient qu’à la présence de la Mort en filigrane dans le texte), en revanche, j’ai beaucoup apprécié le côté « roman historique ». Bien documenté (je ne doute pas d’ailleurs que cela a dû représenter un travail colossal pour l’auteur), je me suis complètement retrouvée immergée dans le récit alors même que mes connaissances sur la Guerre de Sécession n’étaient pas très étendues. A voir maintenant si les résultats du PLIB 2020 confirme aussi mon coup de coeur!
Vous pouvez retrouver ma chronique de Mélisende de Jérusalem de Jean-Louis Fetjaine ici. Service Presse.
Malheureusement, cela n’a pas été beaucoup communiqué par la maison d’édition mais ce roman est la suite de Djinn sorti en 2017. Je n’ai pas lu ce dernier et je ne sais pas si je le ferai étant donné que j’ai été très mitigée pour Mélisende de Jérusalem. Pourtant son contexte historique est maîtrisé par l’auteur, bien documenté et le choix géographique dépaysant. Toutefois, je regrette que la complexité de l’univers, les ellipses, l’intérêt de l’intrigue qui se perd en cours de route et la fin abrupte et déroutante m’aient complètement fait décrocher.
Vous pouvez retrouver ma chronique D’or et d’émeraude d’Eric Holstein ici. Service Presse.
J’ai beaucoup apprécié ma lecture : si Eric Holstein ancre ses deux premières parties dans une réalité bien documentée, dépaysante et crédible dans la Colombie contemporaine puis dans celle du XVIème siècle, c’est pour mieux déconstruire nos connaissances et nous surprendre dans une troisième partie uchronique.
Si après la lecture de ma chronique, vous êtes séduit(e) par ce roman, n’hésitez pas à participer au Concours des quatre ans de mon blog pour tenter de le gagner! Et puis, il y a ça aussi en jeu :
Hop hop hop! Plus que quelques heures pour participer!
Sinon, je vous retrouve demain pour la présentation de ma PAL de Mars 2020!
ce fut un chouette bilan, avec 2 lectures en commun, dont une commune.
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Merci beaucoup !
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