Gagner la Guerre (BD), Tome 3 de Frédéric Genêt et de Jean-Philippe Jaworski

Quatrième de couverture : 

« Gagner une guerre, c’est bien joli, mais quand il faut partager le butin entre les vainqueurs, et quand il s’agit de nobles pourris d’orgueil et d’ambition, on en vient à regretter les bonnes vieilles batailles rangées et les tueries codifiées selon l’art militaire. Pour rafler la mise, c’est désormais an sein de la famille qu’on sort les couteaux. Et il se trouve que les couteaux, justement, c’est plutôt mon rayon… »

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Le sentiment de fer de Jean-Philippe Jaworski

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Quatrième de couverture : 

« J’ai quand même un ragot à vous servir, et du lourd ! Figurez-vous que ce n’est point avec moi que les elfes ont commencé à grenouiller dans les affaires de l’État. Bien loin de là ! Il y a deux bons siècles déjà, au moment de l’Émancipation de Ciudalia, ils nous ont joué un tour à leur façon. Et les marles en tâtent tellement pour la barabille que l’un d’entre eux, sans même pointer son joli minois dans notre belle cité, nous a tous jetés dans une sacrée flanche ! Jugez-en par vous-même. »

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Gagner la Guerre (BD) de Frédéric Genêt et de Jean-Philippe Jaworski

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Quatrième de couverture : 

« Gagner une guerre, c’est bien joli, mais quand il faut partager le butin entre les vainqueurs, et quand il s’agit de nobles pourris d’orgueil et d’ambition, on en vient à regretter les bonnes vieilles batailles rangées et les tueries codifiées selon l’art militaire.

Pour rafler la mise, c’est désormais au sein de la famille qu’on sort les couteaux.

Et il se trouve que les couteaux, justement, c’est plutôt mon rayon… »

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Janua Vera de Jean-Philippe Jaworski

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Quatrième de couverture :

Né du rêve d’un conquérant, le vieux royaume n’est plus que le souvenir de sa grandeur passée… Une poussière de fiefs, de bourgs et de cités a fleuri parmi ses ruines, une société féodale et chamarrée où des héros nobles ou humbles, brutaux ou érudits, se dressent contre leur destin. Ainsi Benvenuto l’assassin trempe dans un complot dont il risque d’être la première victime, AEdan le chevalier défend l’honneur des dames, Cecht le guerrier affronte ses fantômes au milieu des tueries…
Ils plongent dans les intrigues, les cultes et les guerres du Vieux Royaume. Et dans ses mystères, dont les clefs se nichent au plus profond du coeur humain…

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Comment Blandin fut perdu de Jean-Philippe Jaworski

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Quatrième de couverture : 

Pour avoir dessiné encore et encore, avec un talent ensorcelant, le visage de madone d’une jeune moniale aux yeux verts, le novice Blandin est chassé du monastère de Havreval. Le jeune enlumineur entame alors sur les routes du Vieux Royaume son apprentissage auprès d’Albinello, talentueux peintre sur fresque itinérant. Blandin dépassera-t-il son obsession amoureuse? Et l’élève surpassera-t-il le maître?

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Rois du monde, T. 1 de Jean-Philippe Jaworski

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Quatrième de couverture :

Je m’’appelle Bellovèse, fils de Sacrovèse, fils de Belinos. Pendant la Guerre des Sangliers, mon oncle Ambigat a tué mon père. Entre beaux-frères, ce sont des choses qui arrivent. Surtout quand il s’’agit de rois de tribus rivales… Ma mère, mon frère et moi, nous avons été exilés au fond du royaume biturige. Parce que nous étions de son sang, parce qu’’il n’’est guère glorieux de tuer des enfants, Ambigat nous a épargnés.

Là-dessus, le temps a suivi son cours. Nous avons grandi. Alors mon oncle s’’est souvenu de nous. Il a voulu régler ce vieux problème : mon frère et moi, il nous a envoyés guerroyer contre les Ambrones. Il misait sur notre témérité et notre inexpérience, ainsi que sur la vaillance des Ambrones. Il avait raison : dès le début des combats, nous nous sommes jetés au milieu du péril. Comme prévu, je suis tombé dans un fourré de lances. Mais il est arrivé un accident. Je ne suis pas mort.

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Gagner la guerre de Jean-Philippe Jaworski

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Quatrième de couverture :

Au bout de dix heures de combat, quand j’ai vu la flotte du Chah flamber d’’un bout à l’autre de l’’horizon, je me suis dit : « Benvenuto, mon fagot, t’’as encore tiré tes os d’’un rude merdier. »
Sous le commandement de mon patron, le podestat Leonide Ducatore, les galères de la République de Ciudalia venaient d’’écraser les escadres du Sublime Souverain de Ressine. La victoire était arrachée, et je croyais que le gros de la tourmente était passé. Je me gourais sévère.
Gagner une guerre, c’’est bien joli, mais quand il faut partager le butin entre les vainqueurs, et quand ces triomphateurs sont des nobles pourris d’’orgueil et d’’ambition, le coup de grâce infligé à l’’ennemi n’’est qu’’un amuse-gueule. C’est la curée qui commence. On en vient à regretter les bonnes vieilles batailles rangées et les tueries codifiées selon l’’art militaire.
Désormais, pour rafler le pactole, c’’est au sein de la famille qu’’on sort les couteaux. Et il se trouve que les couteaux, justement, c’’est plutôt mon rayon….

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