
Les Grésimaginaires 2016 ayant eu lieu en même temps que le Printemps du Livre de Grenoble, je n’ai malheureusement pu participer qu’à une seule session : la rencontre de Thomas Reverdy à la Bibliothèque des Eaux Claires, le vendredi 1er avril pour la présentation de son roman, Il était une ville, paru en 2015.
L’auteur était très sympathique et nous a dépeint avec beaucoup d’humour le making of de son roman! Je dois bien avouer que je ne l’ai pas (encore) lu mais vous trouverez ci-dessous des informations à ce sujet :

Quatrième de couverture :
Ici, les maisons ne valent plus rien et les gens s’en vont, en les abandonnant purement et simplement ; la ville est en lambeaux. Nous sommes à Detroit en 2008 et une blague circule : que le dernier qui parte éteigne la lumière. On dirait que c’est arrivé. C’est dans cette ville menacée de faillite qu’Eugène, un jeune ingénieur français, débarque pour superviser un projet automobile. C’est dans un de ces quartiers désertés que grandit Charlie, Charlie qui vient, à l’instar de centaines d’enfants, de disparaître. Mais pour aller où, bon Dieu, se demande l’inspecteur Brown chargé de l’enquête. C’est là, aussi, qu’Eugène rencontrera Candice, la serveuse au sourire brillant et rouge. Et que Gloria, la grand-mère de Charlie, déploiera tout ce qui lui reste d’amour pour le retrouver.Thomas B. Reverdy nous emmène dans une ville mythique des États-Unis devenue fantôme et met en scène des vies d’aujourd’hui, dans un monde que la crise a voué à l’abandon. Avec une poésie et une sensibilité rares, il nous raconte ce qu’est l’amour au temps des catastrophes.
Editeur : Flammarion
Nombre de pages : 269
Prix : 19€
Et les avis de plusieurs Babéliotes.