
Quatrièmes de couverture :
Princesses d’ivoire et d’ivresse : Il est des récits qui marquent, des discours qui fascinent et d’autres qui vous arrachent à ces derniers. C’est de ces contes fiévreux dans lesquels on ne s’aventure que l’esprit embrumé, noyé dans les délicatesses d’un âtre en hiver, de ces livres d’images, aux estampes de lys et d’éternels palais que Jahyra vous emporte, comme éclairant les sentiers d’un merveilleux délaissé ou trop longtemps perdu. Désormais nulle aube ne saurait faire oublier ces princesses d’antan, que vous pourrez admirer sans relâche si l’envie vous en prend.
Princesses d’ambre et d’Italie : N’avez vous jamais contemplé au delà des antiques eaux de Thyrée et d’Adria ? Où les symphonies d’un ressac virtuose sculptent les côtes et falaises d’une terre baignée d’un soleil d’ambre. Cet avallon furieux où s’échaudent les esprits et naissent les plus belles fleurs. Mais de ce jardin enjôleur, sachez vos mains gardez de ses charmes impétueux. Car il n’est nul poète, ni prince ni même roi que ne s’y tint sans blessures. Certains en perdirent la tête… Toi qui ouvre ce recueil, souviens-toi de ces rêveries où les cuirasses étincelantes furent percées de la plus belle des lances …
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